de Boualem SANSAL
Écrire dans la violence du monde
Animée par François Rosset (UNIL)
Utopie – Dystopie : le meilleur et le pire du monde
de Petros MARKARIS
L’écrivain et ses villes
Animée par Louis de Saussure (UniNE).
Roman policier, roman social
De Tristan Bauer, 2000,
Borges – Les livres et la nuit
de Erri DE LUCA
La chute comme expérience de salut
Animée par Patrizia Lombardo (UNIGE).
Passions de fictions
de Kim Thuy
La fiction, une réalité sans frontières
Animée par Franca Madioni (dr. Méd.).
Éditer les fictions
Depuis longtemps sans doute, et de plus en plus de nos jours, la violence s’étend sur le monde, dans un mouvement conquérant et totalitaire. Elle repense le monde, le reconfigure, selon ses volontés et ses besoins. Forcées par la mondialisation consumériste,
Marc Atallah est directeur de la Maison d’Ailleurs (musée de la science-fiction, de l’utopie et des voyages extraordinaires) et maître d’enseignement et de recherche à la Section de français de l’Université de Lausanne.
Au travers de son expérience personnelle avec ses villes – Istanbul, Vienne et Athènes – Petros Markaris explore les chemins par lesquels s’est forgée sa personnalité d’écrivain. Plus en avant
Sylvain Briens est professeur de littérature et histoire culturelle nordique à l’Université Paris-Sorbonne. Après une carrière d’ingénieur dans l’industrie des télécommunications et aux Nations Unies,
Puits infinis de l’étrange Bibliothèque de Babel, multiples couloirs, cercles, miroirs, escaliers et hexagones, le film, entre documentaire et fiction, part à la rencontre du monde de l’un des plus grands auteurs de langue espagnole: Jorge Luis Borges – de sa fiction, de ses contes et de ses obsessions littéraires.
Sylviane Dupuis, née à Genève, est poète, auteur de théâtre et essayiste. Elle enseigne la littérature au Département de français moderne de l’Université de Genève. Prix Ramuz de Poésie en 1986, traduite en huit langues, elle a publié sept livres de poésie, dont Géométrie de l’illimité (2000)
La fiction permet de traverser le temps en se balançant d’une époque à une autre grâce à l’élan d’un mot ou le retour d’une image. Elle traverse les continents sans même changer de paragraphe et fusionne les cultures dans le silence des espaces.
J’ai l’expérience de nombreuses variétés de chutes. Toutes sont dues à la loi dite de gravité. Il faut que la chute ne soit pas le dernier mot, mais le passage nécessaire pour se redresser. Existe-t-il une force en nous et dans la nature qui contredit la chute?
Caroline Coutau, née à Genève en 1966, a effectué des études en littérature française et linguistique. Ayant exercé comme critique de danse contemporaine et déléguée culturelle à la Ville de Lancy,